vendredi, 27 juin 2014
De la modernité selon Tocqueville, celle du "regard vide", selon Jean-François Mattei
« Je promène mes regards sur cette foule innombrable composée d’êtres pareils, où rien ne s’élève ni ne s’abaisse. Le spectacle de cette uniformité universelle m’attriste et me glace, et je suis tenté de regretter la société qui n’est plus. »
A. de Tocqueville, De la démocratie en Amérique
23:07 Publié dans Historiens, Hommes politiques, Philosophes | Tags : tocqueville, jean-françois mattei, le regard vide, la démocratie en amérique | Lien permanent | Commentaires (0)